S’OCCUPER, DÉCOUVRIR, TRAVAILLER…
S’OCCUPER, DÉCOUVRIR, TRAVAILLER…
J’espère que vous allez bien, que cette troisième semaine de confinement (déjà/encore/pff/brrr… trois semaines…), n’use pas vos nerfs, votre moral ou votre détermination…
La situation planétaire n’incite pas à l’optimisme…
La politique de retournement de vestes non plus…
Comment faire pour gérer au mieux et en même temps tenter de conserver ses privilèges dans un futur incertain ?...
Voilà bien effectivement qui doit en tarauder plus d’un.
Toutes les stratégies, mêmes changeantes selon le vent, sont bonnes.
Je regarde N.Y, je suis effaré…
Je pense à l’Espagne, ce pays où de Barcelone en Andalousie j’ai pris par le passé l’espace du bon vivre…
Je suis l’Italie, la peste vénitienne était dévastatrice… mais là…
J’observe avec effroi un premier ministre anglais passé de l’inconsistance à la responsabilité…
Je ne parle pas de la Chine, de l’Asie où j’ai pu me rendre et imaginer un peu aujourd’hui comment cette propagation de proximité doit être ingérable…
J’espère que vous allez bien, que cette troisième semaine de confinement (déjà/encore/pff/brrr… trois semaines…), n’use pas vos nerfs, votre moral ou votre détermination…
La situation planétaire n’incite pas à l’optimisme…
La politique de retournement de vestes non plus…
Comment faire pour gérer au mieux et en même temps tenter de conserver ses privilèges dans un futur incertain ?...
Voilà bien effectivement qui doit en tarauder plus d’un.
Toutes les stratégies, mêmes changeantes selon le vent, sont bonnes.
Je regarde N.Y, je suis effaré…
Je pense à l’Espagne, ce pays où de Barcelone en Andalousie j’ai pris par le passé l’espace du bon vivre…
Je suis l’Italie, la peste vénitienne était dévastatrice… mais là…
J’observe avec effroi un premier ministre anglais passé de l’inconsistance à la responsabilité…
Je ne parle pas de la Chine, de l’Asie où j’ai pu me rendre et imaginer un peu aujourd’hui comment cette propagation de proximité doit être ingérable…
Alors je retourne à mon piano, une sorte de refuge intime,
interne…
Le pianiste est souvent montré comme égoïste, nombriliste, « pianiste »…
Il faut dire qu’avec 88 touches, une tessiture et la capacité de faire sonner quel que soit le niveau de par la justesse de l’instrument (s’il est accordé, mais aujourd’hui avec le piano numérique…), s’enfermer dans la bulle de plaisir est de suite confortable, agréable…
On s’isole et là, le confinement augmente cette envie de se refermer vers et sur soi-même.
Le pianiste est souvent montré comme égoïste, nombriliste, « pianiste »…
Il faut dire qu’avec 88 touches, une tessiture et la capacité de faire sonner quel que soit le niveau de par la justesse de l’instrument (s’il est accordé, mais aujourd’hui avec le piano numérique…), s’enfermer dans la bulle de plaisir est de suite confortable, agréable…
On s’isole et là, le confinement augmente cette envie de se refermer vers et sur soi-même.
---
J’ai imaginé trier le reliquat de K7 qui me restaient et que j’avais remisées dans le coin « à vérifier » …
A vérifier quoi ?
Si ce que j’avais imaginé en lisant l’étiquetage soigné auquel je m’adonnais, ainsi que l’enregistrement se vérifiait… à savoir si tel ou tel album m’apparaissant comme rare était là, sur ce brin de ruban aimanté comme une trace ultime, genre le truc que t’as toi et peu d’autres ont…
J’ai imaginé trier le reliquat de K7 qui me restaient et que j’avais remisées dans le coin « à vérifier » …
A vérifier quoi ?
Si ce que j’avais imaginé en lisant l’étiquetage soigné auquel je m’adonnais, ainsi que l’enregistrement se vérifiait… à savoir si tel ou tel album m’apparaissant comme rare était là, sur ce brin de ruban aimanté comme une trace ultime, genre le truc que t’as toi et peu d’autres ont…
Je me suis ainsi arrêté avec tendresse sur l’album « Piano
Rêves » de François « Faton » Cahen.
Rien que lire son nom et me rappeler… j’ai de suite mis la K7 dans le lecteur (oui, j’en ai encore un…) et d’un coup l’irréel a pris sa place dans mon espace de travail.
Bizarre le pouvoir de certaines musiques…
Bizarre le souvenir qu’elles laissent.
J’avais parlé longuement de « Tendre Piano Solo » un autre de ses albums là encore jamais réédité et que j’ai la chance inouïe d’avoir en Vinyle. Il y a là, sa « ballade flambée », sorte de petit geste musical directement émouvant, intemporel, irréel, oui, irréel…
« Piano Rêves » me procurait la même sensation, mais cette fois ci, Faton l’avait enregistré sur un piano certainement genre crapaud, à l’accordage vivant.
J’ai enchaîné ces pièces, chacune laissant entre elle une respiration, une trace… de la vie…
Alors j’ai immédiatement transféré précautionneusement tout cela sur mon PC et au fil de ce travail de fourmi (car je relifte le son initial), j’ai imaginé me mettre réellement à jouer ces pièces.
J’ai ainsi commencé à les transcrire et à les travailler…
Un travail de prime abord de respect de l’initial, de la version enregistrée, puis j’ai commencé à me les approprier afin non de m’en écarter, mais de leur insuffler ma vision, mon appropriation musicale.
Entre Bill Evans et Satie, m’a dit Antoine…
C’est certainement ce qui à l’époque m’a directement fait aimer ce pianiste atypique, aux compositions l’étant également, permettant une rigueur de partition comme de s’évader vers l’improvisation…
Ce travail est devenu projet et il va faire son chemin.
La musique de Faton Cahen m’a énormément influencé dans mon jeu pianistique de ballades, ce que je préfère jouer plus que tout car n’ayant pas un niveau technique véloce, je préfère les univers expressifs. Elle m’a aussi énormément influencé dans mes compositions pianistiques…
Et dire que tout cela est parti, il y a bien longtemps, d’une simple interview dans Rock’n’Folk qui à cette époque d’avant Manœuvre était encore une revue avec de l’écrit, du niveau d’interview et de pertinence.
Rien que lire son nom et me rappeler… j’ai de suite mis la K7 dans le lecteur (oui, j’en ai encore un…) et d’un coup l’irréel a pris sa place dans mon espace de travail.
Bizarre le pouvoir de certaines musiques…
Bizarre le souvenir qu’elles laissent.
J’avais parlé longuement de « Tendre Piano Solo » un autre de ses albums là encore jamais réédité et que j’ai la chance inouïe d’avoir en Vinyle. Il y a là, sa « ballade flambée », sorte de petit geste musical directement émouvant, intemporel, irréel, oui, irréel…
« Piano Rêves » me procurait la même sensation, mais cette fois ci, Faton l’avait enregistré sur un piano certainement genre crapaud, à l’accordage vivant.
J’ai enchaîné ces pièces, chacune laissant entre elle une respiration, une trace… de la vie…
Alors j’ai immédiatement transféré précautionneusement tout cela sur mon PC et au fil de ce travail de fourmi (car je relifte le son initial), j’ai imaginé me mettre réellement à jouer ces pièces.
J’ai ainsi commencé à les transcrire et à les travailler…
Un travail de prime abord de respect de l’initial, de la version enregistrée, puis j’ai commencé à me les approprier afin non de m’en écarter, mais de leur insuffler ma vision, mon appropriation musicale.
Entre Bill Evans et Satie, m’a dit Antoine…
C’est certainement ce qui à l’époque m’a directement fait aimer ce pianiste atypique, aux compositions l’étant également, permettant une rigueur de partition comme de s’évader vers l’improvisation…
Ce travail est devenu projet et il va faire son chemin.
La musique de Faton Cahen m’a énormément influencé dans mon jeu pianistique de ballades, ce que je préfère jouer plus que tout car n’ayant pas un niveau technique véloce, je préfère les univers expressifs. Elle m’a aussi énormément influencé dans mes compositions pianistiques…
Et dire que tout cela est parti, il y a bien longtemps, d’une simple interview dans Rock’n’Folk qui à cette époque d’avant Manœuvre était encore une revue avec de l’écrit, du niveau d’interview et de pertinence.
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J’ai aussi redécouvert un album de Chuck Mangione « Tarentella », enregistré en public avec un casting d’invités à faire rêver…
Gadd, Corea …
Le genre de concert grosse artillerie américaine bien répété, bien huilé, ficelé au coup de caisse de Steve prêt…
Et produit avec un son à tomber par terre…
La réunion de potes high level.
On n’aime ou on n’aime pas…
Vous savez que j’aime…
J’ai aussi redécouvert un album de Chuck Mangione « Tarentella », enregistré en public avec un casting d’invités à faire rêver…
Gadd, Corea …
Le genre de concert grosse artillerie américaine bien répété, bien huilé, ficelé au coup de caisse de Steve prêt…
Et produit avec un son à tomber par terre…
La réunion de potes high level.
On n’aime ou on n’aime pas…
Vous savez que j’aime…
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En travaillant mon piano, avec toujours le real book dans sa première mouture sur le pupitre je me suis imposé de jouer des titres autres que les 50 à 100 standards que tous jouent, qui sont la version réduite de ce pavé de la culture musicale américaine.
De Zappa en passant par R.Towner ou encore tellement de relevés de Bill Evans, C.Corea, j’ai eu l’idée de ce travail de fourmi commencé, justement sur K7, dans les années 80, alors que ma vie a basculé dans le jazz.
Se procurer le Real Book, ce recueil de relevés d’étudiants de la Berkley School relevait alors du défi…
Il se vendait sous le coude, en version photocopiée, à prix d’or, par certains musiciens ayant fait quelques mois, ou années dans la célébrissime école.
C’est par ce biais et pour un tarif inacceptable mais obligatoire si l’on voulait posséder cette bible musicale que j’avais fait un trou dans le budget familial de jeunes mariés.
Une fois ces trois énormes classeurs rangés précieusement à côté du piano j’avais commencé à mettre sur K7, par le biais d’emprunts en médiathèques, les albums ou les titres selon le cas, soulignés en fin de relevé, comme étant référents de ces repiquages.
Ce travail était long, fastidieux et il déviait souvent du fait que la découverte de tel ou tel album permettait à la fois d’enrichir ma culture jazz, mais également de partir vers d’autres contrées plus jazz rock bien entendu.
Aujourd’hui, le principe des playlist via le streaming est
bien plus pratique et même si une telle affaire parait encore fastidieuse, j’ai
donc réussi en quelques jours, de façon ponctuelle, à enfin réaliser cette « bibliothèque »
sonore recouvrant tout le real book, à quelques exceptions près…
Car il y a encore des albums impossible à trouver…
Cette plongée dans ce résumé du jazz a été captivante…
Elle m’a permis encore une fois de réaliser que de cette mine d’or nombre de musiciens se sont contentés d’un résumé certes représentatif mais négligeant tant des compositeurs que des esthétiques pourtant réunies ici dans un recueil se voulant représentatif de l’étude du jazz.
J’ai pu constater que Bill Evans et son incontournable gestion harmonique ne pouvait qu’être ici en modèle d’école, que le bebop et les relevés de thèmes de Charlie Parker étaient omniprésents, ainsi que les compositions de Wayne Shorter ou de Trane.
Pourtant, justement, si l’on se réfère à ces musiciens (sans parler de Miles, de S.Rollins…), force est de constater que ce sont finalement là encore toujours les mêmes « titres » de leur répertoire que l’on joue, entend, met en avant alors qu’ici le choix est bien plus vaste que cet espace réducteur communément joué et diffusé.
Fee-Fo-Fum de Shorter…
I love You Honey, The Inchform par Trane…
Pfrancing de Miles…
Et puis il y a ces merveilles du compositeur Michael Gibbs, souvent joué par Gary Burton donc là encore la somme de relevés est phénoménale…
Gary Burton ce vibraphoniste enthousiasmant, en quartet, en duo avec Chick Corea, stimulateur de talents, compositeur et adaptateur délicat.
Tiens Chick Corea, justement, là encore tout comme Keith Jarrett, des relevés d’albums « de jeunesse », les premier ECM et même avant… de quoi réfléchir tout comme constater que les titres du premier album de Pat Metheny avec Jaco et Bob étaient estampillés encore « exercises ».
Et puis Paul Bley ou Carla ont ici des places significatives, Ralph Towner également, cette école E.C.M incontournable…
Oubliés sont Louis Armstrong, Ella, Sarah mais par contre Billie et Frankie sont parfois là…
La bossa n’est pas en reste et permettra de découvrir .A.C Jobim dans ses albums plutôt qu’avec les version systématiques réalisées par Astrud, Joao et Stan…
Stan qui lui aussi se taille la part belle avec, aux côtés de Gerry ou Chet, bien sûr, mais seul également.
Bill Evans a lui été décortiqué de compos en standards et cette somme à son égard est juste merveilleuse à feuilleter tant qu’à « tenter » de jouer…
Il y a aussi là Randy Weston, le Modern Jazz Quartet, Frank Zappa (oui vous avez bien lu) mais aussi Tom Scott avec le L.A Express ou encore le Mahavishnu première mouture, injouable ( ?) ou presque…
Steve Kuhn est totalement introuvable à écouter dans les albums repiqués ici... regrettable...
Pour ceux qui souhaiteraient se souvenir que Charles Mingus reste l’un des compositeurs jazz les plus complexes tant que captivants, il y a là de quoi se satisfaire, plus que largement car nombre de ses compositions emplissent des pages et des pages.
Les trompettistes bien sûr avec Miles, Freddie Hubbard, Chet mais aussi Art Farmer et Clifford Brown…
Et puis côté saxophone il y a là nombre de relevés du formidable compositeur Joe Henderson…
Herbie n’a pas été oublié et l’essentiel de ses mythiques Blue Note sont intégralement installés dans le recueil mais aussi ses incartades funky des premières heures…
Bon, vous l’aurez compris, ce petit exercice de (re)plongée dans le panorama estudiantin du jazz - un panorama devenu avec les années ouvrage de référence, pour s’augmenter de volumes complémentaires tout aussi captivants et parallèles (pour lesquels l’exercice de stockage en playlist serait aussi captivant), certains devenus officiels ou même rachetés par Hal Leonar, l’une des plus grosses maisons d’édition musicale des US (donc ce même Real Book relifté augmenté d’ajouts et intitulé 6Th Edition) – m’a tant occupé que passionné…
Il ouvre des territoires musicaux oubliés, il en confirme d’autres et incite à chercher plus avant et en tout cas il m’a résumé un énorme pan du jazz…
Playlist en mode public sur qobuz pour ceux qui veulent essayer…
Car il y a encore des albums impossible à trouver…
Cette plongée dans ce résumé du jazz a été captivante…
Elle m’a permis encore une fois de réaliser que de cette mine d’or nombre de musiciens se sont contentés d’un résumé certes représentatif mais négligeant tant des compositeurs que des esthétiques pourtant réunies ici dans un recueil se voulant représentatif de l’étude du jazz.
J’ai pu constater que Bill Evans et son incontournable gestion harmonique ne pouvait qu’être ici en modèle d’école, que le bebop et les relevés de thèmes de Charlie Parker étaient omniprésents, ainsi que les compositions de Wayne Shorter ou de Trane.
Pourtant, justement, si l’on se réfère à ces musiciens (sans parler de Miles, de S.Rollins…), force est de constater que ce sont finalement là encore toujours les mêmes « titres » de leur répertoire que l’on joue, entend, met en avant alors qu’ici le choix est bien plus vaste que cet espace réducteur communément joué et diffusé.
Fee-Fo-Fum de Shorter…
I love You Honey, The Inchform par Trane…
Pfrancing de Miles…
Et puis il y a ces merveilles du compositeur Michael Gibbs, souvent joué par Gary Burton donc là encore la somme de relevés est phénoménale…
Gary Burton ce vibraphoniste enthousiasmant, en quartet, en duo avec Chick Corea, stimulateur de talents, compositeur et adaptateur délicat.
Tiens Chick Corea, justement, là encore tout comme Keith Jarrett, des relevés d’albums « de jeunesse », les premier ECM et même avant… de quoi réfléchir tout comme constater que les titres du premier album de Pat Metheny avec Jaco et Bob étaient estampillés encore « exercises ».
Et puis Paul Bley ou Carla ont ici des places significatives, Ralph Towner également, cette école E.C.M incontournable…
Oubliés sont Louis Armstrong, Ella, Sarah mais par contre Billie et Frankie sont parfois là…
La bossa n’est pas en reste et permettra de découvrir .A.C Jobim dans ses albums plutôt qu’avec les version systématiques réalisées par Astrud, Joao et Stan…
Stan qui lui aussi se taille la part belle avec, aux côtés de Gerry ou Chet, bien sûr, mais seul également.
Bill Evans a lui été décortiqué de compos en standards et cette somme à son égard est juste merveilleuse à feuilleter tant qu’à « tenter » de jouer…
Il y a aussi là Randy Weston, le Modern Jazz Quartet, Frank Zappa (oui vous avez bien lu) mais aussi Tom Scott avec le L.A Express ou encore le Mahavishnu première mouture, injouable ( ?) ou presque…
Steve Kuhn est totalement introuvable à écouter dans les albums repiqués ici... regrettable...
Pour ceux qui souhaiteraient se souvenir que Charles Mingus reste l’un des compositeurs jazz les plus complexes tant que captivants, il y a là de quoi se satisfaire, plus que largement car nombre de ses compositions emplissent des pages et des pages.
Les trompettistes bien sûr avec Miles, Freddie Hubbard, Chet mais aussi Art Farmer et Clifford Brown…
Et puis côté saxophone il y a là nombre de relevés du formidable compositeur Joe Henderson…
Herbie n’a pas été oublié et l’essentiel de ses mythiques Blue Note sont intégralement installés dans le recueil mais aussi ses incartades funky des premières heures…
Bon, vous l’aurez compris, ce petit exercice de (re)plongée dans le panorama estudiantin du jazz - un panorama devenu avec les années ouvrage de référence, pour s’augmenter de volumes complémentaires tout aussi captivants et parallèles (pour lesquels l’exercice de stockage en playlist serait aussi captivant), certains devenus officiels ou même rachetés par Hal Leonar, l’une des plus grosses maisons d’édition musicale des US (donc ce même Real Book relifté augmenté d’ajouts et intitulé 6Th Edition) – m’a tant occupé que passionné…
Il ouvre des territoires musicaux oubliés, il en confirme d’autres et incite à chercher plus avant et en tout cas il m’a résumé un énorme pan du jazz…
Playlist en mode public sur qobuz pour ceux qui veulent essayer…
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La quatrième semaine va bientôt commencer…
Le printemps est là pour nous narguer…
La musique et son partage virtuel ne se suffit plus ainsi et cela fait prendre la dimension de la vraie chaleur humaine…
La quatrième semaine va bientôt commencer…
Le printemps est là pour nous narguer…
La musique et son partage virtuel ne se suffit plus ainsi et cela fait prendre la dimension de la vraie chaleur humaine…
Ah oui !
Je suis allé au cabaret… enfin presque… j’ai regardé « Burlesque »
sur Netflix et apprécié réellement les performances vocales de Christina
Aguilera (des vocalises ahurissantes...), la qualité du groupe qui accompagne cette histoire cousue de ficelles
grosses comme les plus grosses productions hollywoodiennes… mais Cher avec sa
voix si singulière inonde de feeling et puis ce perfectionnisme de la comédie
musicale à l’américaine, franchement, ça le fait grave…
Je me suis marré avec cette comédie sur base pianistique « A la folie, aveuglément » entre personnes se confinant et dialoguant par une cloison… pour finir par le besoin de la vraie relation physique, humaine et palpable… un bon moment…
et puis...
J’ai eu tellement de tristesse en apprenant la mort de Wallace Roney – c’est trop dur d’accepter cela… je n’en parlerais pas encore… il me faut digérer cette injuste fatalité.
Je me suis marré avec cette comédie sur base pianistique « A la folie, aveuglément » entre personnes se confinant et dialoguant par une cloison… pour finir par le besoin de la vraie relation physique, humaine et palpable… un bon moment…
et puis...
J’ai eu tellement de tristesse en apprenant la mort de Wallace Roney – c’est trop dur d’accepter cela… je n’en parlerais pas encore… il me faut digérer cette injuste fatalité.
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Bon, on s’occupe…
Bon et vous , ça va ?...
Bon, on s’occupe…
Bon et vous , ça va ?...
En te lisant, en silence, cette fois ci pas de musique, je pense que le confinement a changé ton angle d'écriture, j'aime cette inversion; avant c'était dans l'ordre: les musiciens, leurs musiques et ta touche pédagogique pour nous aider à l'approcher. Depuis le confinement tu as inversé et tu te racontes avec la musique en vedette invitée. Pourquoi je dis ça? J'imaginais un support inexistant: tes chroniques dans un livre papier ou un magazine, mais avec la possibilité d'interrompre sa lecture pour écouter grâce à un lien inclus dans le bouquin et par miracle la musique se joue... la différence? Le papier, tenir en main et tourner les pages plutôt que faire défiler l'ascenseur de la page web. Pour Cahen je suis impatient en attendant je retourne sur FaceBook t'écouter.
RépondreSupprimerHé oui, c'est curieux, je me suis dit qq chose de similaire en écrivant cette énième chronique.
SupprimerOn va changer, c'est sûr et être en tout cas plus profond dans ce qu'on dit...
l'assumer, ensuite... sera l'autre versant...
mais comme tout changera ça aussi sera logiquement changé.
bon dimanche à toi et préserve toi bien.
amitiés
Tiens, sortir la boite à K7.. j'ai tout gardé, beaucoup plus que les vinyles. J'en ai filé qquns y'a qq années. J'aurai pas dû. Mais les K7 sont là. Lionel Ritchie 1982 motown et Jermaine Jackson "my name is Jermaine" (2 pochette oranges :D) du Prince et ah tiens.. le collector "Bring on the night" live Sting avec double boitier allongé au format inhabituel. Dingo.
RépondreSupprimerJ'ai récupéré ma ligne, une simple bricole qui aurait pu être réglée très vite.. 7 semaines qd même. Du coup, spoti, films.. et le retour des nouveautés plus que jamais sans support physique.
Sinon c'est jarin à fond, je me suis mis dans un groupe botanique pour donner des nouvelles des pollens qui ne sont plus prélevés. Il faut trouver un moyen d'alerter les gens. Je scrute, avec ma flore (bouquin d'identification) je me fout à 4 pattes, si à 51 piges c'est encore possible... et je me dis que les plantes s'en foutent des virus, qu'on est minables.. et puis en fait nan, toutes les espèces sont menacées à cause de nous au pas.. le chancre doré attaque les platanes... nous sommes pareil :D
A++ Pax
t'as récup' ta ligne ?
SupprimerSuper - on réalise comme c'est tant utile qu'important en ces temps...
j'aime bien le son K7, sans dolby, avec le souffle... hmmm...
jardin aussi, il fait chaud, faut veiller...
Bizs
J'avais vachement aimé Burlesque moi aussi, je le reverrais avec plaisir. Christina Aguilera est un phénomène, son album Stripped est un des rares grands disques du R&B des années 2000.
RépondreSupprimerPour le reste, ça va, j'aime bien ne rien foutre.
j'ai vraiment adoré ce film...
Supprimerje vais écouter cet album, je connais pas.
et oui, de tout' que veux tu faire d'autre que...
merci du passage.
porte toi bien.
Hello Chris,
RépondreSupprimerNi piano reves, ni tendre piano solo ne sont sur le net...
pas réédités...
Et, oui, qobuz c'est payant(environ 10€-mois), mais franchement depuis que je l'ai c'est vraiment hyper satisfaction...
porte toi bien et surveille ta boite mail... ;)
bizs chez toi