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Affichage des articles du mars, 2020

DONC ? PENDANT CE TEMPS…

DONC ? PENDANT CE TEMPS… Pendant ce temps, une forme de mouvement intemporel s’installe… Quel jour ? Quelle heure ? ... Le temps, cette valeur qui mesure la musique, semble prendre … son temps… Parfois l’info, tentant l’optimisme mais ne pouvant empêcher l’alarmisme ponctue ce temps en réalités étrangement éloignées, quasi virtuelles… On réalise alors et peut être enfin que la télé n’est pas, finalement, la seule « solution », le seul espace extérieur de contact avec ce qu’on pense la réalité… On réalise c’est certain que le contact humain est bien plus important que tout cela et que la virtualité, même skypée, même téléphonée, même par les divers réseaux sociaux ne remplace pas le réel, le palpable, le tactile, le vrai… On arrive en fin de seconde semaine de confinement. Le nouveau temps s’est quelque part réorganisé, entre les nécessités dues au travail – hé oui ! les enseignants, même en musique dans les établissements dits spécialisés bossent – le plein de musiques lais

ET PENDANT TOUT CE TEMPS…

ET PENDANT TOUT CE TEMPS… Eh oui, pendant tout ce temps, on… jardine, on… cuisine, on… netflix, on… playstation, on… apéro virtuel, on téléphone à ses potes…, on streaming…, on youtube…, on se fait ch…, on a la trouille… de sortir (pourtant faut bien aller chercher à manger, des médocs, bref…)… car si jamais…, on fait le ménage… on bricole…, on s’alarme devant les infos… on commence à gamberger politique et responsabilités/irresponsabilités… on soutient le personnel soignant, comme ma voisine, doctoresse libérale qui part tôt, rentre… très tard, forcément stressée… on s’inquiète dès qu’on tousse de l’allergie printanière, dès qu’on a un coup de fatigue, un éternuement… on écoute de la zic, on la fait, on la partage car on se dit que c’est un moyen de faire plaisir aux gens… surement… alors Aubert, M et tant d’autres font le buzz. J’ai vu Steve Winwood dans son salon, jouer sur son piano, assis sur un rockin’ chair… sacré Steve… on partage des vieilles photos, ç

EMPLISSEZ VOTRE TEMPS DE MUSIQUE(S)…

EMPLISSEZ VOTRE TEMPS DE MUSIQUE(S)… Entre info, contre info, intérêts politiques se dévoilant au fil des jours, prise en compte enfin sérieuse et affirmée avec raison par des professionnels de santé - dont je me dois de saluer ici l’engagement, la compétence, le professionnalisme mais aussi la difficile et inédite mission humanitaire, sociale, civique – scandales en tout genres émergeant et dénoncés prouvant encore une fois les mentalités nauséeuses de nos dirigeants (allez lire Onfray), la vie confinée et presque redevenue raisonnable (même si certains s’imaginent qu’avec un papier d’autorisation permettant d’aller chaque jour chercher… son pain, son journal… peut être une « astuce » afin de frauder face à un fléau dont ils ne prennent pas la mesure) s’organise pour chacun. Vous imaginez bien que la musique a ici place prépondérante… Pas que, par exemple Canal a eu l’idée généreuse d’être en clair par ces temps d’incertitude. Hier, j’ai enfin pu regarder le film sur Quee

VOUS RESTEZ CHEZ VOUS ? écoutez donc de la musique…

VOUS RESTEZ CHEZ VOUS ? écoutez donc de la musique… Que faire ? Quoi faire ? Attendre quoi, en fait ? La première annonce gouvernementale a en premier lieu saisi les esprits, imaginé de s’organiser, se réorganiser. BAC ? Exams ? Comment faire ? Un vide professionnel et relationnel s’installe à l’horizon. Un vide sonore aussi. Les cours de musique comme environnement quotidien ça remplit obligatoirement cet espace. Et paf, hier, la suite. Confinement quasi-total – rester chez soi, éviter de se déplacer. Eviter autrui. On dit le français égoïste, austère – vu d’ailleurs, c’est qui sait ? vrai. Vu d’ici, de l’intérieur, ça va tout de même bouleverser nos vies que de rester ainsi en stand-by, comme en parenthèse avant… avant quoi ? au fait… Gamin les films de SF à connotation pessimiste/catastrophique nous faisaient peur, car tellement plus réalistes et tangiblement possibles que ces univers de vampires et autres super héros venus d’un ailleurs en Comics urbains dégén