C'EST NOËL ! FESTOYONS !...

 

C'EST NOËL ! FESTOYONS !...

Eh oui, sortez, bougez, achetez, mangez et buvez et rentrez tous à 20H pétantes…

Bon, ça fait un ‘tit bout de temps que j’ai pas écrit là.
Faut dire que rebondir sur l’actu en ce moment c’est un peu compliqué et désordonné, un jour oui, l’autre non puis de nouveau oui… on a un peu de mal à s’y retrouver.
La reprise des cours dans nos conservatoires en est un parfait exemple, mais là je n’en dis pas plus, droit de « réserve » oblige, mais croyez moi c’est digne d’un jeu en forme de labyrinthe pour geek de très haut niveau.

En tout cas ce qu’on peut dire c’est que comme pour grand nombre de professions ou de vocations, on court droit à la catastrophe.
Oui on meurt de la COVID 19, mais pas que… car le gouvernement non seulement nous fait tous crever à petit feu, mais en plus d’incohérences en aberrations, d’iniquité en ignorances des gens, il aura réussi à surenchérir l’angoisse, la déprime, l’inquiétude, l’incertitude, le repli, le suicide…
Bravo !...

La culture, forcément je devrais et pourrais en parler.
Mais aussi la restauration, le milieu associatif ou professionnel du « loisir », avec plein de etc… on additionne des milliers de personnes et des milliers de sacrifiés.

Il était donc politiquement correct d’ouvrir les vannes et de lâcher après la frustration.
Tout en montrant du doigt les mauvais élèves, les irresponsables, les inconscients…
Comme toujours il y en a…
Comme toujours on stigmatise, on use du minoritaire pour abuser sur le majoritaire…
on connait

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Intéressant comparatif médiatique.
Macron chope la Covid 19 et tout son entourage d’agités de la connerie au m2 devient « cas contact » … entrefilet médiatique, pas vraiment de développement sur le sujet.
On précise qu’il continue à « travailler », normal il a encore beaucoup à faire pour profiter du muselage des français afin de les baiser un peu plus.
Macron a donc chopé la Covid 19 et en fait, personne ou quasi personne n’en n’a véritablement quelque chose à cirer.
Il est président en titre, mais il ne représentera jamais véritablement les français…
Il les aura trop méprisés, infantilisés, brutalisés, dénigrés, muselés, contraints, brimés, comparés, abîmés, arnaqués, confinés, oubliés, psychotisés, baisés…


Juste à côté, Jean Pierre Pernaut, présentateur « vedette » du journal de 13h sur Tf1 prend sa retraite médiatique et jamais l’on aura vu un tel hommage populaire, au sens le plus large du terme, se faire.
Ravir la une à Macron n’était même pas un défi, en soi…
D’un côté celui qui a truandé les français et ce, depuis son apparition hollandaise sur une scène politique déjà bien éloignée des réalités de nous tous.
De l’autre un homme de proximité, sachant mettre en avant non la province, terme qu’il juge parisianiste ou administratif, mais les régions, le terroir, la France et tout ce qu’elle a de richesses.
Alors bien évidemment tout le monde lui rend un hommage légitime.
Quand, dans une boite, un gars sympa prend sa retraite, le pot de départ assorti de quelques cadeaux et blagounettes sera relatif à son degré de popularité. Ses collègues dont certains devenus amis, sa hiérarchie forcée de constater que non seulement il en a fait du taff mais qu’en plus il installait dans le train-train quotidien une bonne humeur, du partage, etc…, sa famille qui vient discourir, même les connards de syndicalistes qui s’offusquent de tout et souvent de rien sont là – faut bien récupérer un peu de miettes pour les prochains bulletins.
Là c’est un peu la même chose, sauf que l’échelle de valeurs est juste nationale…
Alors les potes, les hommages, les amis, les collègues, les supérieurs hiérarchiques (qui à chaque fois qu’il en a sorti une pas franchement politiquement correcte l’ont forcément blâmé) aussi (car comment vont-ils faire avec l’audimat maintenant ?), ça se bouscule au portillon de Tf1, dans les fils de réseaux sociaux y’a embouteillage, sur les places de ces villages qui n’apparaitraient même pas sur google maps s’il n’avait pas été là pour dire oh, les gars, ici on fait un fromage qui vaut le détour ça se bouscule toutes générations et classes sociales, corporations confondues…

Doit être jaloux Macron…
Doivent être jaloux tous ces politicards rois de la bousculade élyséenne en manque de « populaire »…
Mais bon, pour le devenir (populaire) encore faut-il le respecter, ce peuple…

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Culture…
Les salles de spectacles ne rouvriront pas.
Avec tout cela nombre d’entre elles, indépendantes, vont fermer et ce désastre va se ressentir jusqu’à l’ouvreuse, l’ouvreur, les gars de la sécurité, les techniciens qu’ils soient « de surface » ou de plateau et bien sûr le visible que la plupart ont en tête, les « autres » intermittents, ceux qui sont sur la scène…
Pour autant, face à tout cela certains organisateurs de festivals et autres événements – ceux qui ont la main usée à force de serrer des paluches – annulent tout simplement oubliant qu’en faisant cela, bien entendu ils annulent également l’acte d’engagement de ces intermittents qui, de fait, seront incapables de fournir un justificatif de leurs engagements respectifs pour ces manifestations…
La solidarité donc…
Ce mot serait-il là aussi, devenu vain ?

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 ???
Je suis professeur de musique, je donne des cours instrumentaux avec un maximum de deux élèves par session, ma salle avoisine les 15 à 20 m2 au minima…
Mes élèves et moi-même avons un masque et à l’entrée ils se badigeonnent de gel hydroalcoolique.
Dès qu’ils quittent leurs places respectives je me rue petit vaporisateur en mains et lingettes itou afin de désinfecter leur passage suspect…
Pourtant je n’ai pas le « droit » de leur donner des cours…
Autrement qu’en visio…
Enfin quand ça marche car même si le premier ministre estime que le télétravail est vraiment fait pour tous (il oublie un paquet de personnes dont le métier est juste incompatible avec ça), je crois qu’il n’est pas allé dans la réalité constater que les réseaux (sans parler d’une fibre qui n’est qu’un effet publicitaire) c’est carrément le moyen âge… 4G, Wifi… ça rame grave les mecs…
Alors avant de dire que « y’a qu’à »… faudrait juste essayer de voir si ça marche…

Bref, j’arrive au supermarché…
Le caddie est bien le seul espace de distanciation sociale vérifiable.
D’ailleurs quand on le prend en mains le doute instantané s’installe…
Puis je regarde autour de moi…
Ca tripote les articles, ça repose, ça toussote, ça retire à moitié le masque pour respirer et éviter la buée des lunettes, ça bouscule pour vite choper la promo, ça feuillette le journal ou le bouquin dans le rayon, ça tape la causette dès qu’on s’aperçoit …

Et je me dis…
Ah bon ?...

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Précédent confinement.
Les réseaux sociaux pullulent de petits jeux d’entre « potes » …
Second confinement.
La donne s’est modifiée…
On est confinés mais… on va bosser (? ...).
Alors on partage, mais plus vite, plus urgent, plus stressé aussi, plus morose… souvent…
On balance vite fait sur un collectif quelques trouvailles, amours musicaux du moment…
On se récolte un « j’aime » en pouce ou cœur… un petit commentaire au mieux.
Pour autant parmi cette pléthore de choix partagés qui, vraiment, a l’envie, le temps ou même juste l’idée d’aller écouter tout cela, en entier, jusqu’au bout et de le jouer, vraiment… ce jeu…
Hmmm…

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Bon, mais avec tout ça, sûr qu’on la chope cette saleté…
c'est pas juste un fantasme...
Faire gaffe, n’est peut-être pas tout, mais en tout cas pas rien…

A vous de voir…

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C’est Noël !
Nombre d’artistes le célèbrent et souvent une pléthore de standards leur sert à le faire.
Pourtant, certains osent opter pour une alternative plus créative, plus personnelle, profitant de ce moment planétaire particulier pour faire passer leurs messages, leurs espoirs, leur optimisme et leur croyance en un avenir planétaire qui serait probablement plus radieux.


TORI AMOS – « CHRISTMASTIDE » - Decca 2020.


Elle sort enfin de son mutisme (dernier album en 2017), elle reprend son piano, qu’il soit électrique ou acoustique, convoque son staff (Jon Evans/Basse et Matt Chamberlain/Batterie)
Le propos est resserré en quatre titres éblouissants, mêlant ce celtiscisme qui n’est jamais bien loin et cet art du pop song qu’elle sait si parfaitement distiller.
Le CD est doté d’un packaging en forme de gift avec carte, illustrations (le graphiste Rantz Hoseley) et message personnel complétant celui des chansons qui avancent paisiblement sur un tempo relâché et médium.
La production met en avant la chanteuse et son instrument. Chaque mélodie est soignée, magnifiée et permet ainsi de porter sereinement, avec un plaisir du partage qui est son souhait exprimé dans sa présentation du projet, son message.
« Remonter le moral des gens, sachant que certains ne pourront pas être ensemble cette année en raison de la pandémie » elle ne manque pas non plus de « penser aux nombreuses familles qui doivent faire face aux conséquences d’une élection américaine longue et amère ».
Quatre chansons, c’est peu, mais rien n’empêche de les faire tourner en boucle, car elles révèlent à tour d’écoute la saveur que tout à chacun met en sensations personnelles à l’occasion de ce moment où qui sait, l’universalité fera peut être basculer les choses vers le positif…

 

TCHAIKOVSKI / ELGAR/ MOZART « Serenades » - DG 2020
Zürcher Kammerorchester – Daniel Hope ;

Ce n’est pas directement noël qui est exprimé ici.
Mais au travers de ces sérénades dont la célèbre « Petite Musique de Nuit » de Mozart, le chemin cotonneux, sous une neige poudrée laissant se tracer au sol les sillons de quelques roues de carrosses ou autres diligences, calèches d’une autre époque, me vient implicitement à l’esprit.
Une époque où Mozart à trente cinq années décédait d’une pandémie, lui aussi victime des affres du temps.
Il fait froid, la nuit est dense mais les réverbères jaunâtres éclairent chaque coin de ces rues étroites. Dans leurs faisceaux les flocons au dessin parfait s’ingénient à lutter avec un vent glacial avant de se mélanger au sol, éphémères.
Dans la salle immense l’orchestre est là, paré de ses plus beaux habits rouges et noirs et un bal qui est dans la tête des jeunes filles, qui ici ont laissé au vestiaire leurs lourds manteaux, peut commencer.
Le chant des violons, les contrechants d’habile écriture, les rubatos, ritenuto et autres effets expressifs surgissent de cette interprétation soyeuse, chargée de cette émotion amoureuse émanant de l’esprit de la sérénade.
Forcément nocturne que celle-ci…
Ici il s’agit de sérénades pour cordes, un mode d’écriture orchestrale que ces trois compositeurs ont sublimé.
Fermons les yeux et laissons nous porter vers ces autres temps, un plaisir de chaque instant, glissé sous chaque trame orchestrale, sous chaque legato, espressivo, pizzicato, avec en entête, forcément, le terme molto…

 

ANDREA CORR « Christmas Songs ».


Andrea, (du groupe The Corrs, mais ça vous le savez) s’est elle aussi mise au piano en cette occasion.
Elle aussi se contentera de quatre morceaux, en EP.
Quatre standards dont « In the Bleak mindwinter » du compositeur Gustav Holst soutenu par un remarquable chœur empreint de recueillement et « Begin Again » qu’elle choisit d’interpréter au Ukulele avec encore chœurs mais également le violoncelle et quelques percussions aux accents traditionnels irlandais, coincés entre « Have yourself a Merry Christmas » et « O Holly Night ».
Une sorte de moment de quiétude, de bien être à la sortie de ce court mais reposant moment de musique.
Cocooning autour de cette voix qui flotte dans l’air doucement entourée de voix intemporelles qui viennent renforcer sa ferveur chargée d’authenticité et de tradition.
On sort de ce petit voyage reposés et quelque part, en paix… simplement… et c’est bien ce qui est bénéfique.

 

« A MOTOWN HOLIDAY » - Motown Records 2020


Plus soul, forcément R’nB, très B.O de soap et lorgnant vers le disneyen, cette « compil » EP réunit Asiahn, Joy Delalane, Ted When, Njomza et Tiana Majot 9.
Grosses basse synthé, pianos en loops, performances vocales sorties tout droit de la church du quartier ou un son vintage kitch avec harpes et tout le packaging, voir ce côté pop song évangéliste en guitares claires et limpides, et toujours les chœurs, ces rythmiques infaillibles, ce « son » Motown est inaltérable et pourtant recelant de multiples facettes.
Une recette souvent groovy (même dans les moments les plus sirupeux, ce groove est là), qui, comme toutes celles culinaires de noël ne peut qu’être délectable et rendre l’affaire particulièrement goûteuse… comme ce délicieux « Silent Night » de fin de soirée au coin du feu qui laisse transpercer toute sa beauté mélancolique.


JAMIE CULLUM « THE PIANOMAN AT CHRISTMAS » - Island 2020.


Enthousiasmant !
Un challenge et de taille plus que relevé…
Composer dix chansons originales afin d’éviter les éternels standards du genre, ce pourtant avec swing, big band, cors au lointain moelleux et tutti quanti de cordes, voilà bien qui a dû demander réflexion, connaissance parfaite de ce patrimoine séculaire, et un recul afin d’en tirer une essence personnelle tant que respectueuse du « sujet ».
Ici on se demanderait presque quelle est cette chanson de noël à laquelle on aurait échappé toutes ces années tant ces compositions s’inscrivent sans la moindre hésitation dans le répertoire, naturellement, logiquement et avec une « immédiateté » imparable.
Jamie a délaissé ses gammes de faire valoir, son énergie chantonnante débridée, ses facéties burlesques de showman fatiguant au profit d’une efficacité qui renforce ce propos où le jazz est l’invité de marque, où le swing est impérieux, où la ballade rime avec crooner, où les claquettes et le Cotton Club sortent pour l’occasion de leurs années de gloire.
C’est magique, c’est Noël ! C’est un vrai cadeau ! ...
A sortir au moment de la buche quand déjà quelques bouteilles auront accompagné le repas et qu’il ne reste plus qu’à faire péter bulles de champagne et que... ce monde a été, forcément, refait.

 

« THE CHRISTMAS PRESENT » - Robbie Williams / Columbia 2019.



Un gros cadeau, à l’emballage enrubanné qu’il a été difficile de placer sous le sapin tant il prend de la place.
On l’ouvre…
« Christmas Past » - CD 1
« Christmas Future » - CD 2
Le patrimoine va côtoyer là aussi des chansons composées spécialement en plusieurs années pour l’occasion.
Quelques invités viennent amicalement prêter leurs talents vocaux, dans la pure tradition du « duet » que d’autres célébrités ont posé, là aussi, en tradition discographique.
Comme un repas de noël, c’est copieux, riche, chargé et gouteux.
Comme un jour de noël il y a du monde, la tablée est généreuse et les humeurs et discussions sont variées.
Les enfants mènent et ponctuent la journée et leurs rires, leur excitation envahissent l’atmosphère.
Ils chantent, bien sûr, c’est avant tout… leur jour.
Le bonheur côtoie la nostalgie et la mélancolie parfois.
Chaque année un rendez vous identique, chaque année ils ont grandi, chaque année on aura vieilli.
Cette année, le grand orchestre et les chœurs seront réduits en petite formation, il n’empêche… on fêtera ça quand même, innocemment, avec insouciance souvent, avec bonheur, forcément.
« The Christmas Present » pourrait largement faire partie de la fête, il s’ouvre comme un grand livre d’images, on tourne les pages et une magie de noël se dessine à chacune d’elles.
Le plaisir des retrouvailles.


STACEY KENT « Christmas in the Rockies » - CANDID Productions / 2020.


Le miel, le soft et la souplesse, la délicatesse.
Une rythmique habile, une flûte enchanteresse, une voix raffinée…
Un Ep là encore de quatre titres, des standards que l’on sifflotera en préparant le repas, d’humeur joviale et légère oubliant pour ce moment privilégié cette actualité que même en cette journée l’on ne manquera pas de nous asséner.
« Christmas time is Here » est l’un de mes standards du genre préférés…
Posé sur cette ligne de contrebasse, magnifié par ce célesta enneigé, tracé par cette guitare « jazz » intemporelle…
Je me suis laissé happer…
Et Stacey reste l’une des chanteuses étiquetées jazz qui sait encore transporter, raconter, faire vibrer. Comme maman au coin du lit, elle raconte noël, il n’y a plus qu’à fermer les paupières et rêver.

Et « my god ! » quel swing…

 

JONAS KAUFMANN « It’s Christmas » - Sony Classical / 2020

Solennel, traditionnel, majestueux Jonas Kaufmann, notre grand ténor, entonne avec ferveur un répertoire traditionnel et classique magnifié en grande pompe, orchestralement, pour l’occasion.
La crèche est illuminée, les enfants sont là et chantent en chœur, l’orchestre a pris place.
Souriants tant que sérieux en cet instant solennel tous chantent et célèbrent noël avec conviction et foi et, comme chaque année, ils vont faire jaillir l’émotion en chacun, le partage et l’idée de paix…
Une idée que peut être la musique reste la seule à imaginer partager et transmettre.
Jonas Kaufmann en vecteur de cette idée, avec, pour le coup, ce répertoire qui est hors habitudes, voilà qui est une bien belle alternative.
Puis, d'un coup de baguette magique un orchestre digne de Broadway nous présente un ténor qui va lorgner à son tour outre atlantique, à l'aise dans ce contexte que peu d'artistes "classique" osent aborder... le tour est fait... Noël scintille de ses milles fééries musicales.

 

Allez, après ce parcours enneigé je vous souhaite à toutes et à tous de belles fêtes de noël.
Oublions-les un peu et festoyons !
Et profitons-en encore… et encore… de ce moment si privilégié.





 

 





   

Commentaires

  1. Hi Pax. J'ai ressorti qq Harold Budd que j'avais pris en bibli y'a des années. Il faudra que je revienne t'en causer.
    Et du coup je te lis et j'ai branché Spoti sur Tori avec sa voix doucement Bush, cette pochette de bouleaux fantastiques.. et c'est beau, c'est même assez mélancolique... ce Noël le sera quoiqu'il arrive. Les dispositifs capitalistes sont mis en branle.. c'est un désordre monumental, le truc le plus effrayant, c'est qu'on a pas l'air de vouloir en tirer des leçons, au contraire il faut rattraper le retard. Changer de façon de vivre, corriger, troquer le caddie pour qq idées bienveillantes...
    Bref.. j'écoute "Chrismastide" et à partir de demain les jours rallongent. Biz

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    1. Tu as bien commencé la "série" de ces albums...
      Il va même t'être difficile d'en partir de chez Tori car tout y est magnifique et en seulement quatre chansons... (et un magnifique artwork)
      Pour le reste, comportements et dirigeants irréfléchis...
      Un gamin apprend de ses erreurs et sait tirer des leçons... là...
      Enfin, tachons de ne pas nous en gâcher d'avantage...
      Bon Noël à toute ta famille.

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  2. Oh tous ces disques de Noël ❤
    Vais voir ce que je peux trouver...pour le reste tu as tout bien dit...
    Je vous souhaite de passer de bonnes fêtes en restant prudents 😘

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    Réponses
    1. Tu as largement de quoi piocher - j'ai tout écouté (et ajouté un supplément pour Jonas Kaufmann)...
      Bref, la musique reste et restera et tu te rends compte que tous ces hymnes et chants de Noël, de quelque origine et style qu'ils soient, on les connait tous...
      Universalité donc en ces temps.
      Toi aussi passez de bonnes fêtes et remets toi...
      Bizs

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  3. Hello mister, ça fait plaisir de te lire, j'ai de toute façon un peu de retard, beaucoup même, nouveau rythme de vie, de la musique quand même.
    Le zazard, à force de dire que je n'en avais jamais lu je demande à Pascale (ma compagne) un conseil sur M. Camus. La maligne me propose ... la PESTE.
    Troublant, plus tragiquement visuel mais il y a des comportements humains qui se retrouvent. Je m'y retrouve aussi, et aussi dans ton portrait de l'individu que je suis, la vie que le COVID m'impose, la chance que je continue à avoir et pour prendre du recul mon l'empathie pour ceux qui pataugent.
    Je note le TorI Amos et vais aussi me pencher sur M. Gonzales qui revisite des titres de Noël en mode mineur.
    Et je suis bien content d'entendre des nouvelles de Robbie Williams, toujours eu de l'intérêt poru sa musique, toujours Showman, un radar un temps pour la mélodie et sa collaboration avec l'auteur de LILAC TIME continue à me trotter en tête.
    Bon, je vais chercher le Robbie
    Et vous souhaitez déjà ici de bien passer l'année, je ne me souviens plus vous avoir souhaiter une bonne année 2020... désolé

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    Réponses
    1. Hello,
      merci de passer par ici et de donner de bonnes news.
      la peste de camus est l'ouvrage qui m'a permis d'entrer comme compositeur à la sacem...
      ma première commande pour la pièce (l'état de siège) et l'opportunité d'avoir le nb de représentations avec partitions en mains...
      j'y pensais plus à ça et tu vois tu m'as fait le rappel... enregistré avec un 4 pistes fostex et multi-recording... belle expérience.
      le robbie est alléchant, le jamie est tonifiant, et je me suis laissé prendre par jonas kaufmann, magnifique.
      passe de bonnes fêtes avec pascale et cocoonez bien.
      à très vite

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