SANDRINE PIAU
SANDRINE PIAU C’est ainsi, un jour au gré d’un trajet, comme ça, entre deux cd ou un branchement de streaming, la radio… (classique) - tu t’arrêtes et es subjugué. Oui, j’ai bien dit subjugué… Alors, même si le nom de l’artiste tu l’as déjà (encore heureux) repéré, il aura suffi d’un air de Haendel – « Lascia ch’io Piangia » - de ceux qui, à chaque fois provoquent, ce truc épidermique indescriptible, magique, sensuel et addictif. Alors tu mets le nom dans un coin de tête et attends (musique classique oblige) le véritable moment qui va te permettre de te laisser véritablement envouter par cette voix exceptionnelle. Un coup de bio et je découvre que finalement à une poignée d’années prêts, on aurait pu se croiser puisque l’artiste a fréquenté les banc de la maitrise de Radio France à l’époque épinglée ORTF. Résultat, la curiosité s’augmente, forcément, j’y ai passé tout de même quelques années et je crois bien que si je suis devenu musicien un jour (ou tous l...