LIBRE… FREE…

 LIBRE… FREE…


ça fait rêver… que le simple mot de liberté, d’être libre…
Free… sans faire la moindre publicité pour cet opérateur qui a su utiliser l’idée… bon eux, j’en parle pas, m’ont occasionné trop de déboires.

Free jazz, jouer free, improvisation libre, musique libre…
Vous le savez, j’aime ces engagements artistiques, ces moments où volontairement, ou non, l’on sort du « cadre », de la zone de confort au plus minimal… des usages pour en imaginer d’autres… au plus engagé.

Free, supercherie ?
Free, contribution historiquement relevée au patrimoine du jazz, donc free-jazz ?
Improvisation libre – Libre improvisation, que sous-entend cette distinction ?

Ce n’est pas ici que je vais me lancer, dommage, dans ce débat.
Mais parfois, le jeu, l’esprit, la connotation, la teneur « free/libre » s’invite là où l’on ne peut l’imaginer, là où le terme bizarre parait de mise, là où finalement l’on invite le trublion free afin d’un peu de peps pour booster un titre par une idée ou par quelque chose d’à priori incongru… ou tout simplement… d’autre.

Allez, on explore.

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« Aladdin Sane » - David Bowie | RCA 1973.

Entre cabaret déjanté et nouvel avatar histoire de plier Ziggy le grand David sous la houlette du génial Mick Ronson sort cette pépite.
Il aime comme toujours brouiller les pistes, sort de temps à autre son saxophone, glam sur l’entêtant « Jean Genie » au riff incomparable et puis, là, dans ce titre phare « Alladin Sane », il lâche la bride à l’autre Mick, celui qui sera souvent son compagnon de route pianistique : Mick Garson.
Et le voilà qui sort un solo dont, personnellement, je ne me suis jamais véritablement remis, cherchant souvent non à l’imiter, car c’est inimitable que ce jeu, mais plutôt à en tirer parfois l’essence.
Le trait de génie de ce moment unique ?
Un axe mélodique sous-jacent mais quasi omniprésent, ce qui au regard du traitement barré de celui-ci, interpelle de suite, une empreinte blues caractérisée et un jeu totalement free qui pourrait faire pâlir les tenants jazz du titre, tout cela sur cette basse qui s’organise sur un intervalle de seconde, je descends, je remonte… Et David qui, au fond puise dans des notes diversement aléatoires, mais forcément, le connaissant, calculées, au sax, afin de donner au tout encore plus de puissance, d’interpellation auditive…
Quand c’est sorti, j’avais 13 ans et je n’allais jamais à une boum sans cet album et sans mettre ce titre en pâture, m’éclatant comme un halluciné sur ce moment crucial.
Je ne suis pas certain que cette sensation se soit tant que cela éloignée encore aujourd’hui, ce solo qui manie avec science, talent et génie l’art d’une certaine liberté n’a pas pris une ride dans mes interpellations musicales.

« Cat Food » - King Crimson « In the Wake of Poséidon » 1970.

Après « In the Court », le pavé dont on dit qu’il fut le déclencheur du « mouvement » progressif, King Crimson reste un groupe, certes conceptualisé et propulsé par Robert Fripp, mais un groupe.
L’axe Canterbury est presque évidence, on l’oublierai tendancieusement… et au gré des textes de Sinfield totalement exacerbés par un Greg Lake qui ne tardera pas à se barrer avec E.L.P, le Roi Cramoisi invente, conceptualise, mélange, ose et expérimente, triture…
Il n’y a rien d’étonnant alors à trouver là le représentant free d’un jazz à l’anglaise que certains Soft Machine lorgneront très vite (cet axiome free), à savoir Keith Tippett.
Si l’on s’amuse à faire le rapport avec le titre précédemment proposé, la similitude semble acquise.
A trois années d’avance prêt.
Et finalement l’axe, jeu harmonique pop et posé, contrastant avec les jets free et les rendez vous sur le chant de Lake semble jailli du même moule initial.
Il faut écouter tous les détails de ce titre, le jeu jazzy de Fripp, la solidité basse batterie, les rendez vous à la guitare acoustique et bien entendu les échappées libre et miraculeuses de Tippett.
Fripp et Tippett se rejoignent au final, un dialogue des plus intriguant, mais qui fonctionne avec une écoute des plus attentives.
L’éternelle erreur qu’on a face au progressive rock c’est de placer le truc sur une sorte de vision élitiste et technique de la musique.
Pour autant, on est là face à une réelle énergie rock, un riff / beat qui s’ancre dans le sol et un lead vocal sans équivoque – c’est juste, qu’autour de cette solidité des gars s’invitent et osent des trucs qui interpellent, incitent et surtout changent des us et coutumes déjà prises.
C’est so british…
On est désormais en identité, loin de Jimi – mais côté free, Jimi (« Are you experienced ? ») connaissait lui aussi son affaire…

« Alife » - Rober Wyatt « Rock Bottom » 1974.

J’ai largement réécouté, et plusieurs fois, cet album placé sur l’échelle des essentiels et encore une fois, je suis resté perplexe.
Bienfaits d’une sortie suite à un drame qui a secoué la sphère rock ?
Flash sur une production amicale de Nick Mason, donnant ainsi un crédit Floydien complémentaire ?
Bref, qui sortirait aujourd’hui un truc pareil, carrément dépressif, artisanal, introverti et s’ouvrant sur un univers des plus glauques avec l’infini pourcentage d’idée que cela devienne « culte » ?...
Quand je dis perplexe, c’est que, quand je me retrouve face à cet univers absolument hyper personnel et lugubre, les remontées acides avec leurs déformations du réel semblent directement ressurgir, alors, malaise.
Mais franchement, je me suis souvent demandé à quoi a pu servir un tel album et … pourquoi cet engouement ?
En tentant de sortir des habituels poncifs liés à sa genèse et dont finalement peu sont enclins (ou aptes) à sortir, se débarrasser, j’ai donc tenté une énième fois de plonger non du haut de ce balcon fatidique, mais dans ce fatras sonore artisanal, amateur, expérimental, avant-gardiste et certainement il faut le reconnaitre… unique.
Savoir que quelque part les échappés de Canterbury sont venus prêter main forte, que le mouvement R.I.O est forcément invité d’honneur (Henry Cow) et que même le tout jeune Oldfield est passé par là, explique un peu ce fouillis sonore, ces mélodies atypiques et ces chansons informelles chargées de la profonde émotion que procurera désormais (mais c’était déjà le cas avec Soft Machine) le chant de Wyatt.
Si j’ai adoré et fait ressortir de toute cette plongée ultra-dépressive le titre « Alife » c’est pour son absolue désorganisation apparente placée hasardeusement autour de ces accords lunaires et animée par ces percussions qui agissent en tout sens et puis, bien entendu ce sax totalement libre qui parfois rejoint Robert, le soutient, l’approche pudiquement ou avec crainte pour terminer de façon presque « a- normale », afin d’apaiser cette transe, cette hypnose, cette dépression, cet abîme, ce monde qui n’est en rien jouissance mais dont on sait que si on l’a croisé un jour il est préférable de l’éviter.
C’est donc certainement pour cela que « Rock Bottom » dans son intégralité mystique et shamanique ne m’a que rarement permis une pleine entrée, un total don de moi car les fantômes qui y sont enfermés peuvent avoir trop d’emprise, trop de rappels et trop… de pouvoir.

« The Bells » - Lou Reed « The Bells » - Arista 1979.

Un bien étrange album que ce « The Bells » de Lou Reed.
Un album qualifié de jazz/rock/art-rock électrique, bref, on ne sait pas vraiment où le ranger…
Don Cherry (trompette) et Marty Fogel (saxophones) y sont les invités de marque, arrangeurs pour cors et expérimentateurs sur la base du free jazz.
Et dans ce titre, Lou Reed a même demandé à Don Cherry d’évoquer le « Lonely Woman » d’Ornette Coleman.
Il y joue de la guitare synthétiseur, tel qu’un certain Pete Cosey l’eut fait chez le Miles électrique de l’avant pause retraite du trompettiste et s’inspire d’Edgar Allan Poe.
Lou Reed entre en totale expérimentation chez Arista et s’ingénie à mixer les tendances, est-ce génial ? Est-ce une supercherie ? ...
C’est du Lou Reed, tout bonnement, ne cherchons pas outre mesure et apprécions-le à cette seule valeur.
Biberonné depuis le Velvet à tenter l’improbable, l’inédit, l’inutile parfois…
Reed a un certain crédit qui lui permet de tenter, d’imaginer, de réunir ou de fédérer, de s’entourer pour essayer, expérimenter. Il est capable de la chanson rock ou pop la plus basique, du concept arrangé et orchestré le plus audacieux, du « bruitisme » musical le plus expérimental et peut comme là ingurgiter le free jazz dans son expression la plus réelle dans sa musique.
Il n’est pas forcément aisé de le suivre, de l’appréhender, de le comprendre parfois… mais il faut lui reconnaitre une audace que trop peu n’ont, une permissivité absolue et un statut d’essayiste musical unique en son genre.
Et ici Don tant que Marty ont pu probablement, au-delà de la simple invitation, imaginer profiter de l’aubaine d’être participatifs et essentiels dans un album rock pour exprimer leur free jazz comme s’ils étaient chargés d’une mission, d’un rôle… profitant ainsi et certainement de cette opportunité pour offrir ce jeu à un public à priori plus large.  
Déroutant, certes, mais comme toujours captivant.

« The Purple Lagoon » - Frank Zappa « In New York » | 1977.

Ce « In New York » a été emblématique dans la discographie de Zappa.
Parler de free sans évoquer Zappa sur le versant rock serait oublier un essentiel de cette mise en mixité.
Ici nous voici, live, face à un déferlement musical absolu…
D’emblée le solo de Michael Brecker - sous lequel Terry Bozzio est à l’extrême (chose qu’ils referont au sein des Brecker Brothers avec l’album live à la verve identique « Heavy Metal Be Bop » dont le titre est un programme en soi) – pose le sujet sans aucune concession, applaudi comme il se doit et le maestro ne peut que prendre une répartie bluesy, seule alternative possible après le délirium free de Michael.
Patrick O’Hearn et Eddie Jobson qui ici use en background des pizzs de son violon restent accrochés à la « ligne » tant le propos, autour d’eux part en tous sens, ce même quand le bassiste prend le solo fretless.
Puis ce sera au frangin Randy Brecker avec son module de trompette harmonizer de remplir l’espace de façon tout aussi expansive, provocatrice et forcément virtuose.
Puis l’écriture cartooning typiquement zappaienne va, comme au départ lors d’une exposition thématique prétexte, conclure l’affaire.
Le public est en transe, les musiciens, pour qui certainement la seule consigne a été d’y aller librement, sortent de cette bataille avec eux-mêmes épuisés mais heureux… ce n’est pas tous les jours qu’on te permet, dans un tel contexte, de faire ainsi…
Mais Zappa a toujours flirté avec le free et la musique contemporaine…

« Couleur Café » - Serge Gainsbourg 1964.

Adieu Vian, adieu Saint Germain des Prés…
Serge part en voyage africain, exotique, chaleureux, érotique comme toujours et subtil comme d’habitude.
Percussions affirmées et quelques musiciens jazz incontournables de la scène française sont là, à ses côtés et parmi eux Michel Portal, instantané, encadré dans un court chapelet de secondes et en presque audace penchant vers le free qui est - aux côtés du classique dont il interprète les œuvres – sa soupape de liberté musicale.
L’audace il ne l’a que dans cette gamme sortie d’un ailleurs qui détonne, qui interpelle, qui attire l’attention et qui, au beau milieu de ce tube de l’univers du grand Serge, sonne comme un déraillement de train ronronnant à sa vitesse de croisière.

« Don’t Stop me Now » - Toto « Fahrenheit » 1986.

C’est quand même le must, t’offrir, en pleine gloire de renaissance Miles Davis…
Et lui laisser totale liberté…
Miles ne joue plus « free » depuis longtemps…
Depuis son retour en 81 il a peaufiné son sujet, cadré petit à petit sa ligne musicale. Un jazz-funk groovy a pris progressivement place.
1986, nous somme ici en plein tournant davisien avec la sortie de « Tutu » et Miles, comme il l’a souvent fait côtoie sans distinction les musiciens de tous horizons.
Invité ici en guest par le groupe Toto et pour un titre forcément organisé pour lui, le voici qui « circule » autour du thème, un thème aéré, écrit afin que sa trompette harmon si caractéristique puisse passer dans les interstices, les espaces, les respirations.
Miles est libre comme l’air, son jeu n’est plus vraiment free – il a largement jeté ses débridages à la face du monde depuis des lustres et a fait la pige à tant de ces jeunots qui croyaient lui en montrer dans le genre…
Non il est simplement – ici – libre…

« Slave » - Rolling Stones « Tatoo You » 1981.

Faire du neuf en fouillant dans les poubelles, les rebuts, les oubliés…
C’est ça « Tatoo You ».
La mode c’est : une face A qui envoie, une face B qui apaise (sacré David Bowie, merci à lui) mais bientôt avec le format du CD où tout s’enchaine, ça disparaitra…
Et curieusement c’est le truc de génie…
Je me souviens bien la première fois que je l’ai écouté, je n’y croyais plus vraiment et j’ai filé directement à la Fnac l’acheter…
Et j’ai mis en boucle ce « Slave », pour son riff, pour son beat ou Charlie est incommensurable, pour Mick qui gémit, en rut, cherchant des aigus rythm’n’blues et… pour ce solo de saxophone nullement crédité sur la pochette initiale et dont l’enquête m’aura amené à découvrir que le dépositaire de ce monument soliste n’est autre que Sonny Rollins…
Ce solo qui illumine non seulement le titre, mais l’album tout entier, qui, comme un de ces excellents vins, reste en bouche et distille cette saveur inoubliable, s’installant en ADN dans l’auditeur, happé par cette mixité géniale qui fait se rencontrer et s’aimer follement jazz et rock, rock et jazz – musique(s) quoi.
Rare, trop rare mais finalement c’est ce qui fait l’exceptionnelle saveur du truc que cette partouze mixte, on est là, voyeurs de ces ébats amoureux et l’on devient en un instant esclaves de ce titre, en boucle, déterminant ce qui nous reste, en ces années où le synthétique va définitivement s’installer en eighties, d’empreinte rock et de penchant jazz.
Ah, les gars, vous avez vraiment fait très et trop fort là…

« Fletcher Blemish » - Soft Machine « Fourth » 1971.

Canterbury… sacré fatras sous cette étiquette…
Le free jazz et le rock se côtoient en paradoxe sur ce quatrième album du groupe où Robert Wyatt signe sa dernière participation avant accident, de batteur.
Elton Dean (il faut savoir qu’Elton John est un mix entre Elton Dean et John Lennon – le chanteur pianiste ayant à ses débuts travaillé dans un groupe de rythm’n’blues avec celui-ci, avant de trouver son pseudonyme) au saxes tient le crachoir.
On aura lu que cet album sonne « creux » et sera prémonitoire des futures dérives free d’un groupe qui, de par ses nouvelles directions musicales sera forcément délaissé par ses fans des débuts psychédéliques.
Ouais…
Il parait évident qu’ici le free (jazz) domine.
Et pour autant ce free là n’est en aucun cas ancré dans celui américain où Trane et Ornette s’installent en patrimoine.
Là, nous voici certainement dans les prémices affirmés de ce que sera finalement le free à l’anglaise puis plus généralement à l’européenne, Soft Machine en quelque sorte précurseurs de cette récupération expressive.
Paradoxe d’un groupe qui aura débuté avec l’image rock psychédélique (aux côtés de Floyd quelque part à ses débuts tout aussi libre), qui aura choisi des directions free et électriques, dignes de Weather Report à leurs débuts mais avec cette touche unique et différente, tant en racines qu’en culture, car, à l’instar de ces rockers récupérateurs du blues, ceux là firent de même avec le free jazz.
Puis Soft Machine avec Jenkins (devenu Sir) et Holdworth ont continué dans cette trace pour un jazz dit rock de la plus belle facture.
Et c’est une autre histoire.

Petits bonus… avec redites.

« Neuköln » - David Bowie « Heroes » 1977.
Encore Bowie…
Trilogie berlinoise et face B du second opus de celle-ci.
Les synthés prédominent, une mélodie plane et David sort et fait gémir, gueuler, couiner, brâmer, hurler de jouissance expressive son sax.
Intense, inaccessible, impensable et pourtant bien là, réel, inédit, incalculable et excitant.
Poignant même… surtout en final…
Incroyable ce final où l’instrument tel une voix enfermée jusqu’alors, s’échappe enfin.

« Chunga’s revenge » - Frank Zappa « Chunga’s Revenge » 1970.

Revisité par le tango electro de Gotan Project.
Ian Underwood au sax wahwah est ici le dépositaire de la cellule free avec un solo majeur qui ouvre le champ à Zappa, tout aussi inspiré.
Ici c’est le batteur Ansley Dunbar qui propulse l’affaire, avec ce jeu jam session très seventies à l’américaine – il sera par la suite l’un des membres fondateurs de Journey aux premiers albums dans une lignée directionnelle se voulant à l’identique.
Quelque part l’essence de la culture zappaienne tant d’écriture que de mode improvisé se résumerait dans ce titre et l’expression qui en émane – mais à chacun son appréciation de la chose.
A chacun son Zappa donc…
En tout cas, sur cette ligne de basse obsessionnelle permettant une batterie  volubile, Ian et Frank s’en donne à cœur joie, libres, évidemment…

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Il y a forcément tant d’autres titres, d’autres axes et de mixités entre les musiques ayant permis à la liberté d’ouvrir un cadre rigide de chanson, de faire dévier vers des sommets inexplorés un titre, d’inciter l’oreille à aimer, grimacer, se questionner et finalement s’habituer…
Bref, être libre n’est pas forcément un style, un jeu dans le seul cadre d’une étiquette esthétique…
C’est aussi oser, s’inviter, faire, être apte à…
C’est avant tout se laisser aller et surtout lâcher prise pour s’exprimer avec l’oubli de la contrainte et juste sa profondeur d’énergie et d’âme.












 

Commentaires

  1. Deux petits commentaires insuffisants étant donné ce que déclenche tout ce papier (as usual)
    Bowie et le pianiste: bien entendu j'ai été tellement emporté par son jeu que j'ai cherché des albums de M. Garson, mais j'ai été déçu, je ne retrouvais pas le jeu cascade et martelé, que j'ai presque retrouvé dans la musique cubaine. Un quiproquo d'écoute?
    Crimson: "Cat Food," tu as raison d'isoler ce titre qui contredisait l'impression que "the wake" était une re-sucé du précédent. Pour sortir le bassiste de l'ombre: Gordon Haskell qui a eu son petit succès bien plus tard avec "How Wonderful You Are" un des titres préférés de Catherine, une voix si chaude. A suivre

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    1. Oui à suivre, certainement, comme d'habitude entre nous ici et ce plaisir de l'échange.
      Chez toi, E.L.P, éternellement vilipendé par les anti prog, toujours les mêmes, avec les mêmes et sempiternelles visions réduites.
      Je n'ai pas jugé ni utile, ni bon de venir chasser et croiser... A quoi bon ?
      Tiens je me suis réécouté le mois dernier, Brain Salad Surgery... mais aussi Works et le concerto pour piano de Keith Emerson. C'est ça le problème des inclassables dans une société de crétins formatés et biberonnés à un équivalent de MacDo.

      Bon In the Wake, certainement mon KC préféré de la première période, là où tout sera possible, là où Greg Lake est déjà la voix d'ELP...
      Et merci pour l'info G.Haskel - un rappel en mode tilt, mais oui, je crois me souvenir avoir un jour...
      Merci du passage.
      Prochain article prêt... j'envoie...

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