LIBRE… FREE…
LIBRE… FREE… ça fait rêver… que le simple mot de liberté, d’être libre… Free… sans faire la moindre publicité pour cet opérateur qui a su utiliser l’idée… bon eux, j’en parle pas, m’ont occasionné trop de déboires. Free jazz, jouer free, improvisation libre, musique libre… Vous le savez, j’aime ces engagements artistiques, ces moments où volontairement, ou non, l’on sort du « cadre », de la zone de confort au plus minimal… des usages pour en imaginer d’autres… au plus engagé. Free, supercherie ? Free, contribution historiquement relevée au patrimoine du jazz, donc free-jazz ? Improvisation libre – Libre improvisation, que sous-entend cette distinction ? Ce n’est pas ici que je vais me lancer, dommage, dans ce débat. Mais parfois, le jeu, l’esprit, la connotation, la teneur « free/libre » s’invite là où l’on ne peut l’imaginer, là où le terme bizarre parait de mise, là où finalement l’on invite le trublion free afin d’un peu de peps pour booster un titre par une idée ou pa